killercats
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c est vraiment triste
Par Anonyme, le 12.01.2020
c'est beau ! (mais c'est triste !)) ---
erik
(le theilerik@wana doo.fr).
Par ERIK, le 20.07.2014
oui !
( letheilerik@wa nadoo.fr )
erik
Par ERIK, le 20.07.2014
j aime beaucoup cette chanson merci pour le petit com sympas
bizzzz lolilove
Par LOLILOVE, le 16.07.2014
ton histoire est vraiment très belle et tu as créé un amie un homme qu'on aimerait toutes rencontrer.
Par Pinto, le 27.06.2014
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Date de création : 06.12.2008
Dernière mise à jour :
13.09.2022
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J’étais en road trip à l’étranger,
Je conduisais vers ma prochaine destination
Je l’avais trouvée d’une photo d’un imprimé de l’office du tourisme donné
Une photo d’entrée d’un parc mythologique pris dans la brume de quoi donner des frissons.
Je m’approchais du parc la route asphaltée disparaissait
Laissant place à une route sablée et de gravier
A ma droite une forêt à ma gauche un lac,
Entouré de cette nature que je trouvai le parking avec peu de voiture
Je descendis pour explorer cette nouveauté sans oublier mon sac
J’entrai dans le guichet une cabane en bois d’armature.
2 demoiselles me saluèrent dans la langue locale,
Je leur répondis en anglais un hello joviale.
Elles furent surprises, et une se leva intrigué par d’où je venais
Je lui répondis de France, et là je vue parfaitement son visage d’admiration s’illuminer.
Mais l’illumination fut réciproque dans mes yeux.
Quel être de beauté somptueux
Son visage arrondi aux pommettes jocondiennes la rendait mignonne
Et si on en additionné sa chevelure léonine cela en faisait une femme dragonne
Qui avait allumé un début de feu dans mon coeur,
Et enfumé mes pensées mais je réussi à sortir de ce leurre
Je demandai un ticket pour le parc,
Mais je ne pus l’avoir sans qu’elle continue à me tirer dessus avec son arc.
Je dus passer par des questions sur moi-même, mon métier, comment j’avais atterri en ce lieux
J’en avais le plaisir d’être son centre d’intérêt et je voyais ce partage avec elle comme un moment chaleureux
Finalement ce fut sa collègue/amie qui me donna le ticket payé
Je lui dis merci coupant la discussion avec la fée et aussi sûrement le fait d’être envoûté.
Et avant que son amie se rassoit j’ajoutai "Pouvez-vous me renseigner sur le parc et la mythologie locale s’il vous plaît ?"
Malheureusement elle me dit qu’elle était ici depuis peu, ce qui n’était pas le cas de l’angélique qui reprenait la conversation comme pressé de continuer à m’hypnotiser,
Elle approchait sa tête pour me donner des explications
Et je pu en respirer ses notes boisée et fleuris de son parfum d’effusion
Elle m’apprit la signification du parc par sa voix suave et délicate,
Je me délectais de mon cours autant que par les nouvelles connaissances arrivant à mon cerveau et que de la savoir instruite et passionnée dans son métier
Je peux avouer que des moments je cessais de regarder le plan pour l’admirer
L’envie de plonger dans ses yeux merveilleux,
Il était d’un bleu d’un lac de montagne par jour de soleil, unique et savoureux
Si proche d’elle je craquais sur la fin en lui demandant directement d’être ma lumière, mon phare
Enfin mon guide, mon guide personnel pour les étapes de ma vie, euh de la vie que retrace le parc mythologique.
Les 2 se regardèrent comme si ma proposition était bizarre.
Mais avoir des informations au fur et à mesure de marcher dans le parc semblait logique.
« Je ne sais pas si le directeur du site m’accorderai le droit de quitter mon poste et si tu pourrais garder la caisse à toi seule qu’en pense-tu ?»
Mais finalement elles s’entendirent et elle put partir avec moi
La jolie fée pris donc les devant devenant mon guide spirituel
En la suivant je m’aperçus de ses belles courbes comme la dentelle
Ah non je ne saurais, décrire l'effet, ah non je ne savais que dire
Béant devant la beauté de ses traits, qui m’évoquer la douceur du cachemire
Elle me présenta les premières statues symbolisant l’enfance et l’insouciance.
Elle continuait de me dicter son savoir mais semblait également dans sa voix chercher ma clémence
Elle le faisait gentiment avec des questions pour mieux se connaître et comprendre :
Sur nos plus vieux souvenirs, l’être qui nous a le plus influencé ou nos moments enfants tendres.
Cette enchanteresse s’immisçait de plus en plus dans mon coeur et tête
Si ça continue je ne pourrai m’en défaire et en devenir accro comme à la Meth.
La partie adolescente mythologique fut plus qu’une découverte non des statues
Mais sur le fait qu’elle me cherchait également par ses questions sur mes premiers amours.
Par logique j’en compris un feu vert où je pouvais clairement lui donner mes sentiments à nus
C’est lors de la partie adulte que je m’en approchai par pattes de velours.
Je commençai donc à lui faire des compliments succincts
Mais ce fut le début de la fin …
Elle me dit « J’ai oublié ! Je dois aller ramasser des fraises pour le dessert, désolé je pars maintenant si tu as d’autres questions tu pourras faire demander le directeur, bonne fin de visite ».
J’allai ajouter un mot malgré mon ébahissement, mais elle partit sans courir mais vraiment vite.
Je la voyais s’éloigner et s’enfoncer dans les bois en dehors des sentiers
Ses scintillants cheveux bruns sauvages comme dernière vision disparaissaient.
Abasourdi je restai planté là quelques minutes à essayer de comprendre ce qui s’était passé …
Puis je me suis dit et gardais l’idée que je pourrais de nouveau la croiser à l’entrée là où je l’avais d’abord trouvé.
Je continuai donc mon chemin mythologique lâché à la période adulte
Mais pouvant continuer à avancer sur tous les chemins et voir ces statues par moult.
A la fin de mon périple spirituel en solitaire, je pu repartir à la boutique pour acheter un souvenir ou la revoir
Mais la dulcinée n’était pas là, je demandai à son amie où elle se trouvait, elle me dit à ses tâches et devoirs.
Dommage me lamentais-je, mais le directeur apparu, Je pu poser les dernières questions que j’avais eu
Ou bien la possibilité de rester plus longtemps dans l’espoir de pouvoir à nouveau l’admirer.
Notre conversation dura des minutes et je fus invité à boire le thé. Son apparition n’en fut pas mais j’apprenais, on échangeait, quel bon moment
Notre conversation dura une heure je fus invité au cidre, puis à manger.
Et voilà manger avec le personnel du parc, c’est moi qui lui apparaîtrait tranquillement
Je suivais le propriétaire, s’enfonçant dans la forêt, je croisai quelques tentes et compris que l’été ils vivaient tous ici, elle, prêtresse des merveilles vivait ici
Et finalement nous arrivions à un feu de camp et ils étaient tous là assis, tous là sauf ma jolie.
On me servit à manger, en discutant, je la cherchais des yeux.
La bonne humeur était là, mais mes pensées converger sur son absence de présence près du feu
Même son amie était là, mais je n’osai demander où elle se trouver devant ses collègues.
Puis finalement je lâchai « Vous devez tous vous retrouver le soir pour manger ensemble dans votre organisation ? »
Ce à quoi on me répondit qu’à partir des horaires de fermeture du parc ils était plus ou moins libre de leurs occupations »
Je fus un peu déçus car cela pouvait dire qu’elle était peut être parti autre part ou déjà endormi
Le repas fini les histoires, les rires, les verres et les sons de guitares fusées dans la pénombre entre le feu et la nuit
Le moment de partir arriva avec les nuages pleurant la pluie
Peut-être par compassion que je ne reverrai pas cette princesse d’ici minuit.
A la cendrillon et non comme le prince je partis en disant au revoir et un grand merci de cette accueil
Et au moment de dire au revoir à son amie, elle me murmura que celle que je désirais était une Elf de la forêt et des feuilles.
« C’est un esprit protecteur et défenseur du coin même si elle n’a pas d’arc
Elle vit entre spiritualité et vérité,
Elle te remercie de cette rencontre, ces partages et moments passés,
Et te souhaite bonne destinée, voici le signe protecteur des voyageurs de sa part. »
Je fus comme déconcerté de toutes ces informations mais il était donc trop tard pour la revoir
« Merci à toi et à elle je le garderai précieusement à mes côtés»
Je reparti nonchalant avec une étrange sensation de cette journée
Abasourdi de souvenirs je redémarrais ma voiture pour continuer mon voyage, le voyage de ma vie
Avec dans mes pensées enregistré, cette journée de magie.
By killercats.
J’attendais seul dans la file d’attente
Pour un concert voir un groupe qui chante
Pour passer le temps j’examinais les gens autours
Des fans au t-shirt du groupe jusqu’aux parents accompagnant leurs dans ce parcours
Je remarquais un endroit oublié de la foule pour entrer plus rapidement
J’y plongeais au moment opportun et prudemment
Ce qui me permit d’atteindre par chance le 4ème rang dans la fosse
De plus la vision s’annonçait optimale, sans devant moi de grand colosse
Seulement des filles plus petites et une jolie chevelure …
Attendez quelle chevelure ? …
Elle appartenait à la demoiselle devant moi
Mais je n’en devinais pas encore son visage, je vais devoir attendre qu’elle se retourne je n’avais d’autre choix
Par chance elle se retourna au bout d’un moment pour parler à ses amis
Je pu découvrir doucement ses paumes légèrement rougis
Ses yeux marron soyeux derrière ses lunettes noires par ses branchettes
Son nez à donner l’envie de petits bisous esquimaux chauds
De sa bouche des dents étincelantes et des lèvres légèrement rosé et pulpés
Donnant un sage merveilleux visage nacré
De par ses paroles échangées avec ses amis j’en devinais un ramage délicieux,
Et le renard avait raison cela égalait son plumage par ses courbes suaves.
Mais j’étais là avant tout pour le concert restons concentré !
Ah mais là c’était l’attente avec une chaleur qui commençait à me terrasser
Je sortis mon éventail pour me changer d’air ce qui me fît remarquer et tourner vers moi des regards …
Dont mon crush moment et ses amis de façon hagard
S’ensuivi une discussion entre eux me regardant cette fois plus discrètement
Ne comprenant pas leur langue je ne pouvais pas comprendre que j’en étais le sujet évidemment
Etait-ce dû uniquement à mon éventail ou peut-être à mon shampoing à la mangue ?
Mais je fus sorti de mes pensées par mon crush qui me posa une question dans sa langue …
Euh … English ? Je répondis
Je vis son visage étonné, surpris
Elle comprit d’une que elle avait parlé avec ses amis tout bas inutilement
Et deuxièmement elle chercha son ami afin de pouvoir traduire sa demande en anglais lentement
As-tu assisté l’année dernière à un concert de Muse dans cette même ville ?
Que je fus surpris effectivement j’avais assisté à ce précédent concert
Mais je ne les reconnaissais pas sur l’instant, moi qui ai pour habitude la physionomie comme savoir-faire.
Et je me demandais aussi la probabilité de cette situation, différent artiste, un après … combien sur mille ? …
- Euh Yes, mais vous étiez où ? Pouvez-vous m’en dire plus ?
- Ton ami est passé derrière nous pour nous photomber en souriant
Mon cerveau ne fit qu’un tour me rappelant du moment :
« Nous avancions dans la fosse pour être devant avec quelques astuce
Et il s’était arrêté dans notre lancé pour photobomber 2 filles puis rigoler de sa bêtise avec elles un instant.
Puis l’appelant en les regardant il me rejoignit un peu plus devant. »
- Ah oui je me souviens de vous !
Puis je me mis à leurs parlers de sujet divers pour faire connaissance : de rien et de tout.
Mais en essayant de séduire, que dis-je, de plaire, à cet être pour moi tombé du ciel
Car pour moi ce hasard était la destinée, 2 chemins se croisant de façon providentielle.
En discutant, sortez des rires sans attige, des aires d’anecdote et de partage
Même des photos communs mais cette fois c’est moi qui ferai partis de l’archivage.
Notre concert commençait avec une sorte d’amitié fusionnelle dans cette fosse grâce à cette rencontre
Kiffant les sons et chants du groupe, avec entre les chansons entre nous des échanges
Et c’est là que je remarquai, elle échangeait aussi cet évènement avec ses amis sur les réseaux en n’en faisant des louages.
C’est là que je décidai d’attaquer, se lier par nos profiles pour continuer après à ce connaitre et à se parler
Elle accepta avec facilité, comme quoi le courant passé.
Ma future porte d’entrée placé, je continuai de profité du concert en bonne compagnie,
Le concert finit, nous échangeâmes encore quelques mots, puis les aux-revoir furent de la partie.
Quelle surprise quelques jours après, elle m’écrivit un message
Quel bonheur pour moi ce fut, mon cœur s’accéléra lui pourtant d’habitude si sage.
Nous échangeâmes photos et continuâmes à ce découvrir.
Et passant prochainement dans sa ville, je me permis de lui proposer un verre à offrir
Malheureusement elle refusa car elle m’expliqua qu’elle ne vivait pas là, mais depuis quelques années en Italie …
Ne me dégonflant pas après un temps de réflexion que je pourrais quand même partager un verre avec elle car j’irais m’envoler dans plusieurs semaines dans son pays.
Et oui mes futures vacances était planifié, visiter la Slovénie en volant en Italie pour plus de facilité.
Et comme par destiné elle habitait dans la région de mon aéroport d’arrivé.
Elle parut enjouée de pouvoir de nouveau se rencontrer donc cette fois-ci je lui promis son verre proche de chez elle.
Après concertation nous décidâmes de se voir à Venise (Venice), l’idée me fit pousser des ailes.
Rencontrer quelqu’un que la destinée pousse vers vous, qui vous plaît,
Et qui par magie vous fait de nouveau rapprocher,
Mais cette fois dans l’une des villes les plus romantiques !
Mon cœur continuer à s’emballer, à stresser devant limite anharmonique
Il aller falloir me préparer pour savoir quoi visiter, mais surtout séduire tranquillement
Car me connaissant avec mon romantisme dans cette ville je voudrais lui déballer le grand jeu de séducteurs d’un autre temps.
Je commençai lentement en lui écrivant un poème mais d’amitié …
Et oui mon instinct fleur bleue aller être difficile à freiner
Mais nous commençâmes lentement avec une simple visite
Incluant des découvertes, photos, échanges, rire en espérant un minimum qu’elle soit séduite.
L’heure du midi sonna dans nos estomacs et je choisissais par hasard un restaurant à jolie vue
C’est là que je fis ma première erreur, les pires pizzas et spaghettis nous furent servis, quel bévue me prenant au dépourvu.
Heureusement elle ne m’en tint pas rigueur ou reprochait
Sûrement grâce à notre face à face à nous du regard, elle en fut rassasier ?
En tous cas je le fus par son regard intense et somptueux
Son visage cette fois-ci de face offert, mer permis de confirmer sa beauté un ange tombé des cieux par un dieu peut-être peu soucieux
Mon cœur en battait la chamade, ce qui me fus faire un pas de plus dans mon romantisme
Et commanda un tour de gondole demandant à un gondolier par aventurisme.
Assis l’un à côté de l’autre, nous rapprochait un peu plus
Mais à quel moment il fallait démontrer ses sentiments ? Et par un baiser ? Ou attendre un peu plus ?
Mince elle propose une selfie à 2, je mets où ma tête ? Mes bras ?
Vite agis, souris tant pis improvise, me rapprocher de très près fut mon choix !
Deuxième erreur je fus envouté par son parfum exquis.
Décidément mon cœur lui en fut ravi et me le fit comprendre par de grands stimulis
Ce fut le moment que je choisis, on se rapprocha doucement … de la rive et il fallut descendre.
En gentleman je lui tendis la main pour l’aider, et la tire un peu plus fort pour qu’elle atterrisse sur moi pour la surprendre
oh sorry, tout va bien ? Désolé !
Et c’est là l’un sur l’autre, à quelques centimètres, yeux dans les yeux que ... nous décidâmes de … continuer à visiter.
Je prenais de temps en temps des photos d’elle visitant de façon inopinée,
Mais je remarquai qu’elle faisait de même mais en plus discret.
Nous montâmes en haut de la basilique pour une jolie vue,
Ce fut la deuxième selfie en duo cette fois-ci je mis mon bras autour d’elle étant plus confiant et moins dépourvu.
Après la photo si proche d’elle je lui glissai à son oreille mes sentiments et désirs … d’une bonne glace, une gelato à dévorer.
Et c’est ce que nous fîmes dans un deuxième face à face cette fois-ci au goût sucré pour le bonheur des yeux et du palais.
Le temps se gâta nous décidâmes de faire des boutiques pour être à l’abri.
Elle en profita pour m’achetait un masque de Venise, que je fus surpris ! Ébahis !
Ses sentiments devaient être surement réciproques ? C’est là que mes pensées convergeaient
Et en même temps c’est aussi ce que j’espérais.
Donc je m’approchai de face de son visage tendit mes lèvres et yeux fermés et ce fus l’instant ! Enfin ! Où je lui fit la bise et la remercia …
La pluie passée nous continuâmes la découverte des superbes ruelles et ponts.
D’un coup apparu un doux son, de la musique de violon.
On s’assit sur des marches non loin de l’artiste afin de profiter des mélodies.
A la fin de cinq morceaux je me levais pour continuer de visiter avant la tombée de la nuit.
De nouveau en gentleman je lui tendis ma main pour l’aider à se lever, et la tira un peu plus fort pour qu’elle atterrisse sur moi pour l’embrasser.
Ça y est je lui donnais un baisé d’amoureux afin de clôturer nos rencontres par la destinée.
Et cette fois nous ne continuâmes pas de visiter, mais nous commencions notre vie et aventure à deux.
For Danuta, by killercats
J’étais dans le taxi en direction de l’aéroport
Je songeais à mes vacances vers un nouveau folklore
Je regardai le paysage défiler bien sage,
J’essayais de trouver des mots pour m’habituer à ce futur langage.
A l’aéroport en avance je m’assis non loin de la porte d’embarquement,
A mon habitude j’observe mon environnement avec les gens assis et marchant
Un visage délicat m’interpellât,
Ces yeux étaient délicieux et ces cheveux longs étaient d’un blond soyeux
Ses pommettes légèrement rouge cerisette la rendait coquette
Elle dégageait une atmosphère de beauté timide
L’envie de la prendre dans mes bras pour la protéger en fût ma pensée candide
Pourtant elle devait être une femme forte et déterminée
De ses chaussures à sa veste elle était impeccable et bien soignée
Je l’admirais comme on peut admirer la Joconde (Mona Lisa) sans rien n’en attendre
Une toile exceptionnelle qui te remplit de bonheur pour une journée tendre
C’était l’heure de rentrer dans le rang pour entrer dans l’avion
Par hasard la gente demoiselle était devant moi,
C’est là que je découvris son parfum exquis aux Lilas
C’était là le bon moment de passer à l’action !
Pourtant je perdis mes moyens me rappelant mes chaussures
Chaussé pour la randonnée sachant que pour certaines filles c’est se prendre un mur …
J’essaya de m’en dissuader et de foncer, mais rien ni faisait,
Quand je m’aperçus de son billet d’entrée
Le prénom de cette délicate fleur m’apparu
Comme l’aborder m’était aborté, j’essaya de lire et retenir en entier le contenu
Mais j’espérais une seconde chance de discussion si nos sièges n’étaient pas loin,
Dans l’avion ma chance était partie loin
Au moins je me consolais de pouvoir sur les réseaux la retrouver
On ne sait jamais …
Ce que je fus, mais je fus vite déçu.
La majestueuse lionne n’était pas facile à pister dans cette savane ardue.
Ce que je ne m’étais pas aperçus c’est qu’en tant que chasseur j’étais devenu proie
Elle m’avait traqué sur les réseaux et me demandait de se connecter en tant que choix.
J’acceptai et commença à converser
On s’écrivait régulièrement, se découvrait, et partageait et rigolait
Elle était marrante, intéressante, entreprenante, et séduisante.
Elle me demandait souvent des nouvelles et de moi photos souriantes.
Nos vacances estompées et les jours à parler ce fût le moment du premier rendez-vous.
Un parc de ville qu’elle connaissait arriver à l’heure et bien habillé comme atout,
Mais le premier défie apparu, ce fût de la retrouver
Le parc étant grand avec de multiples entrées
Après une augmentation de stress, plusieurs minutes et messages
Enfin je la trouvais assis sur un banc toute sage.
Nous décidâmes de faire le tour du parc,
La pression descendue je pus contempler non seulement sa beauté mais celle du parc avec arbres, lac et barques.
L’endroit qu’elle avait choisi était comme rempli de magie
Et moi j’étais avec la douce magicienne des lieux harmonieux
A me faire découvrir les endroits tendres, cachés et merveilleux
Je pense qu’elle essayait vraiment de m’envouté dans cet environnement d’idyllique et fleuri
On discutait, on se rapprochait, on s’asseyait sur la rive avec une douce brise.
Je regardai les canards essayant de résister à ses charmes et sa courtise
Pour garder le contrôle de mon corps et non le céder à mon cœur
Mais c’était trop tard la magie avait opérer avant l’heure
Ton visage se dessine dans les moindres détails
Je m’accroche à tes mots dans les moindres détails
Je résistais une première fois à t’embrassé
Car jamais lors du premier "date" selon ma gentleman dignité
Puis les minutes passèrent et la fin du rencard arrivait
Nous nous levâmes pour que je l’accompagne vers le point où nous allions nous séparer
Avant d’écarter notre destin de la journée, un dernier face à face chaleureux
Ce fût le face à face de trop noyais dans tes yeux merveilleux
J’en oublia mes lois, m’avança et t’embrassa
Afin d’en sceller nos destins pour un futur avec toi …
by killercats
Je me promenais au grès des allées
Dans cette ville nouvelle aux murs nacrées
A force d’avancer je fus surpris par le soir
Je décidai donc de m’arrêter dans ce parc, m’asseoir.
Je scrutais le square avec les groupes d’amis rassemblés à discuter
Mon regard continua à glisser quand il s’arrêta sur une silhouette de volupté.
Tu étais là aussi distinguée et gracieuse qu’une monarque
Je te contemplai en espérant que tu me remarques,
Je me demandais comment t’aborder et entamer une discussion
Puis je fus réveillé de ma réflexion par un frisson.
Nos regards se croisèrent,
Et pour une fois je ne lâchai pas le regard et croisa les fers.
Pour un instant éphémère, nous étions en contact sans y être,
2 destins près à se rencontrer, mais restant encore quelques mètres
De timidité et rêveur je repartis à mes plans pour les franchir et non agir
Admirer ce qu’on ne peut avec interagir, c’est souvent le cas cela va sans se dire …
Sortis de ma rêverie je m’aperçus que son groupe s’été déplacé jusqu’à moi.
Les mètres s’étaient transformés en centimètres, plus le temps de réfléchir je devais faire des choix.
Je me levai pour entrer dans le groupe, et m’exclamai « Désolé parlez-vous anglais ? ».
Les premières discussions commencèrent, les dés étaient jetés.
Je n’avais de yeux que pour toi, en essayant de ne pas trop le laisser paraître
Tout en discutant avec tous et toi, je retenais les traits de ta personnalité et ton être.
Je buvais la bière offerte, tes mots, tes rires, ton sourire, ta clémence,
Je mangeais les chips offertes, tes connaissances, ta créativité, ta bienveillance.
Pour le reste de la soirée je voulais te faire devenir ma moitié,
Je lançais quelques remarques et blagues pour de toi me faire remarquer.
Il était l’heure de quitter le parc pour notre groupe.
Je les suivis peut-être avais-je le vent en poupe.
Nous arrivâmes sur une nouvelle terre de combat,
La boite de nuit où les mouvements comptent avec pour la musique comme loi.
Nous prîmes une table comme QG et des verres pour un minimum nous imbiber,
Et c’est partie pour danser sur un rythme effaré
En tant que romantique je pouvais toujours attendre les slows pour m’aider
Le death-métal était le thème de la soirée, avec ton look légèrement gothique l’idée m’avait effleurée
C’est donc sur des airs enragés que je mets à danser pour me retrouver en face à face.
Sous les lumières navigantes je te regarde danser pleine de grâce
« J'aimerais danser avec toi pas seulement aujourd'hui jusqu’à minuit
Regarde-moi dansant pour toi, te désirant joliment dans l'ombre de la nuit
J't'emmènerai au vent
Je t'emmènerai au-dessus des gens
Je prendrai soin de toi sans te faire de mal
Rien que d'y penser je sens mon cœur qui bat
Tu sais je ne suis pas dans mon état normal »
Et ça y est j’oses te faire tourner une fois par ton bras …
Malgré un certain malaise nous continuâmes comme-ci de rien n’était jusqu’à la fin de la danse
Puis tous assis à la table elle décida de partir avec les fumeurs
Puis les minutes défilèrent, je repartis danser avec d’autres mais je pense que j’avais perdu ma chance.
Toujours pas de retour, j’avais perdu reconnaissant ma défaite, je partis il était l’heure
Le chemin de sortie passait par le coin fumeur, je pu dire aurevoir au reste du groupe et merci
Et pour son aurevoir d’elle j’eu un baisé épris …
A suivre …
"Chez moi, y'a du soleil quarante jours par an
Tu peux passer la plupart de l'année à l'attendre
J'regardais par la fenêtre, enfermé dans ma chambre
J'priais pour la fin d'l'averse et aller faire d'la rampe
J'connais qu'le bruit d'la pluie, l'odeur du béton mouillé
Si j'suis parti, c'est parce que j'avais peur de rouiller
Trempé, j'aurais jamais pensé
Qu'le mauvais temps finirait par me manquer"
by Orelsan
Se laisser envouter par la volupté
de Lindsey stirling, artiste a découvrir
I am a man who walks alone
And when I'm walking a dark road
At night or strolling through the park
When the light begins to change
I sometimes feel a little strange
A little anxious when it's dark
Fear of the dark, fear of the dark
I have a constant fear that something's always near
Fear of the dark, fear of the dark
I have a phobia that someone's always there
Have you run your fingers down the wall
And have you felt your neck skin crawl
When you're searching for the light?
Sometimes when you're scared to take a look
At the corner of the room
You've sensed that something's watching you
Fear of the dark, fear of the dark
I have a constant fear that something's always near
Fear of the dark, fear of the dark
I have a phobia that someone's always there
Have you ever been alone at night
Thought you heard footsteps behind
And turned around and no one's there?
And as you quicken up your pace
You find it hard to look again
Because you're sure there's someone there
Fear of the dark, fear of the dark
I have a constant fear that something's always near
Fear of the dark, fear of the dark
I have a phobia that someone's always there
Fear of the dark, fear of the dark
Fear of the dark, fear of the dark
Fear of the dark, fear of the dark
Fear of the dark, fear of the dark
Watching horror films the night before
Debating witches and folklores
The unknown troubles on your mind
Maybe your mind is playing tricks
You sense, and suddenly eyes fix
On dancing shadows from behind
Fear of the dark, fear of the dark
I have a constant fear that something's always near
Fear of the dark, fear of the dark
I have a phobia that someone's always there
Fear of the dark, fear of the dark
I have a constant fear that something's always near
Fear of the dark, fear of the dark
I have a phobia that someone's always there
When I'm walking a dark road
I am a man who walks alone
de Iron Maiden
On marchait en file indienne, les uns derrière les autres,
Faisant attention dans le noir de la forêt pour ne pas perdre un des nôtres.
Nous étions amis, partis à l'aventure pour le haut de la colline
Notre objectif était de nous réunir pour un moment particulier des cimes.
La forêt remplis de pénombre à ce moment-là seuls les battements d'ailes de chauve-souris et hululement de chouette transpercer le silence
Sans compter le bruit de nos pas, sur feuillage et branches sur lesquelles on avance.
Quand enfin, la fin du chemin forestier cessa
Pour nous offrir un nouveau noir, crémeux de la voie lactée, d'étoiles, et d'une lune tirant sur le magenta.
Nous étions époustouflés de ce plafond magique et vivant.
A ne marcher qu'en regardant le ciel et plus devant
Se tenants les mains pour éviter de tomber et rester liés
Le haut de la montagne apparut ce qui signalé notre arrivé
Nous nous allongeâmes dans un parterre de longue herbes douces et fraîches,
Positionnés pour voir notre toit illuminé avec l'horizon noir qu'il lèche.
Enfin, nous cassâmes le silence pour nous raconter nos histoires et pensées inspirée par ce paysage.
Nous parlions, parlions bien sage,
Nos liens d'amitié s'en augmentée et ce resserré
Tout en nous laissant éveillé.
Le temps passé le bouquet final approché
Mais nous étions déjà ailleurs comme sur un petit nuage a 5 branches liés
On buvait nos paroles,
A s'en enivrer comme de l'alcool
On était bien là à attendre le matin
Quand enfin, il survient.
La petite lumière de notre ami le soleil commencer à apparaître
Puis doucement à nous éblouir de tout son paraître.
Nous étions subjugués et nous nous tues profitant de cet unique moment
On s'envolais tel un baiser soufflé d'une main, tendrement,
Au grès des douces brises du matin
Transporté en groupe soudé dans un monde de fées et lutins
Nous disparûmes,
Avec comme seul trace ce poème à la plume.
by killercatsfor
Danuta and our destiny
Picture from https://energeticreaction.deviantart.com/gallery/
J'ai rêvé que je sautais dans le vide, mais était-ce qu'un rêve ? Car dans cette vie ce vide est bien présent